Présidentielle 2022
– Francetvinfo, le 22 février : Les commerçants appellent à l’aide
- « Si Yohann Petiot reconnaît un soutien important de la part du Gouvernement pour compenser ces fermetures, des pertes d’emploi sont néanmoins à signaler : « Nous avons perdu en 2020 plus de 30 000 emplois dans le commerce ». »
– Sud Radio, le 21 février : Présidentielle 2022 : La vérité en face
- « Aujourd’hui, l’un des enjeux de cette campagne est d’essayer de dépasser ces clivages entre centre-ville et périphérie. Il y a 7 Français sur 10 pour qui le commerce de proximité est son commerce de périphérie. »
– Le Figaro, le 20 février : Présidentielle 2022 : les commerçants tentent de se faire entendre et dévoilent des propositions
- « Depuis deux ans, on ne parle que du commerce en réaction à la crise, déplore ainsi Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce, auprès d’Europe 1. Maintenant, il faut parler de l’avenir du commerce. »
– Europe 1, le 20 février : Présidentielle : se sentant abandonnés, les commerçants interpellent les candidats
- « Pour contrer les mastodontes de l’e-commerce, il faut aussi faire revenir les clients en magasin. Or, « les commerces ne sont ouverts qu’environ 30% du temps libre des Français », constate Yohann Petiot. L’Alliance du Commerce et le Procos préconisent donc un assouplissement des horaires d’ouverture des boutiques, avec par exemple la possibilité d’ouvrir 12 dimanches par an. Mais également en soirée pour certaines occasions comme les soldes, la rentrée scolaire ou encore les fêtes de Noël. « Si on veut que le commerce physique vive encore demain, il faut que les clients puissent s’y rendre. Sinon ce sera toujours plus simple de rester chez soi dans son canapé à commander en ligne », justifie le directeur général de l’Alliance du Commerce. »
– Fashion Network, le 18 février : Les enseignes défendent leurs propositions pour le commerce auprès des candidats à la présidentielle
- « On a évoqué le commerce durant la crise, mais on n’en a pas fait un sujet stratégique d’avenir. A deux mois de l’élection, nous devons en parler car c’est un thème assez absent des débats. »
– LSA, le 17 février : Présidentielle : découvrez les 22 propositions de soutien au commerce des fédérations
- « Parce que le commerce est bien souvent le grand absent des programmes des candidats, et que leur état-major ont, hélas le plus souvent, des idées des plus courtes sur le sujet, à moins de 60 jours de l’élection présidentielle les deux fédérations se sont donc mobilisées. A l’heure où les commerces sont confrontés à des bouleversements majeurs tant économiques, technologiques que sociaux, locaux et nationaux, l’Alliance du Commerce et le Procos, fortes de leur fédération réunissant plus de 400 enseignes, interrogent à lettre ouverte, quelle place occupe le commerce dans le programme de chaque candidat ? Le secteur et ses transformations sont-ils réellement considérés comme des enjeux économiques et sociaux vitaux pour la France et ses territoires ? »
- « Pour Yohan Petiot, directeur Général de l’Alliance du Commerce, il est impératif que l’Etat s’engage sur le déploiement d’un Plan stratégique ‘‘Commerce 2030’’ qui mobilise des moyens financiers à la hauteur des enjeux pour assurer un environnement économique et social favorable à la réussite de ces mutations profondes. Le futur quinquennat devra débuter par l’affirmation politique de l’importance du secteur et la nomination d’un ministre du commerce. »
– Ouest France, le 17 février : Présidentielle. Et si le commerce était en tête de gondole ?
- « Leur rêve ? Voir le commerce se retrouver en tête de gondole dans le cadre de l’élection présidentielle. Jeudi 17 février 2022, l’Alliance du Commerce et Procos (…) ont rendu public leur livre blanc qui sera remis aux candidats. Ils ont quelques arguments à faire valoir. Car le commerce pèse lourd dans l’économie : 3,2 millions d’emplois, 986 000 entreprises et 217,3 milliards d’euros de valeur ajoutée, soit un peu plus de 10 % de l’économie française. »
Soldes/Panel Retail Int. pour l’Alliance du Commerce
– Le Point, fashionunited (avec AFP), le 9 février : Soldes d’hiver : les commerçants déplorent un bilan décevant
- « On a une baisse de 17 % du chiffre d’affaires par rapport à 2019 et une chute du trafic en magasin de 28 %, renchérit Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce (grands magasins, habillement, chaussure), qui a interrogé avec Retail Int., un panel d’une quarantaine d’enseignes représentatives du marché de l’habillement. »
- « Signe que le travail à la maison a pesé, M. Petiot note une légère augmentation d’activité pour la dernière semaine des soldes suite à la levée du télétravail obligatoire le 2 février. »
– LSA, le 9 février : Mode : des soldes en baisse de 17% par rapport à 2019
- « Les enseignes de l’habillement du Panel Retail Int., pour l’Alliance du Commerce, ont enregistré, sur l’ensemble de la période des soldes d’hiver 2022, une forte baisse de leur chiffre d’affaires : -17,3% en magasins par rapport aux soldes d’hiver 2019, à périmètre constant. Les comparer aux soldes 2020 et 2021, années de Covid, n’aurait en effet pas grand sens. »
– BFMTV, le 9 février : Des soldes d’hiver plombés par la crise sanitaire
- « Le bilan des soldes est très décevant, d’autant plus que le mois de janvier est le deuxième mois de l’année en termes d’activité pour le secteur de l’habillement, déplore Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce. »
– Franceinfo, le 8 février : Soldes d’hiver : « Un bilan très décevant », souligne l’Alliance du Commerce
- « Est-ce que les soldes ont encore du sens ? Cela reste un moment important pour écouler les stocks. Si on ne le fait pas, ce sont des stocks qui restent, qui dorment et qui ne permettent pas aux commerçants de reconstituer leur trésorerie. C’est essentiel parce que cette trésorerie sert aux commerçants pour racheter de nouveaux produits, financer de nouvelles collections, rembourser leur dette. Si on rate les soldes, c’est autant de trésorerie que nous n’avons pas. »
– La Dépêche, le 8 février : Soldes d’hiver 2022 : un bilan « très décevant » selon l’Alliance du Commerce
- « Cette période des soldes a été marquée par des mesures de restrictions prises par le gouvernement pour lutter contre le Covid. Du télétravail, un nombre important de contaminations ou de cas contact, des classes fermées. Ce sont autant de raisons pour lesquelles les Français ne se sont pas déplacés et ne sont pas allés sur leur lieu de commerce et de bureaux et donc ont moins consommé, explique Yohann Petiot. »
– CNews, le 8 février : La Matinale
– BFMTV, le 7 février : À Paris, les soldes n’ont pas su trouver leur clientèle
- « Après un mauvais démarrage, il n’y a pas eu d’embellie pour les soldes d’hiver. Janvier est le deuxième mois le plus important pour le secteur de l’habillement, selon l’Alliance du Commerce. Mais il aura été morose cette année. Retour du télétravail, reprise de l’épidémie… Les conditions n’étaient visiblement pas réunies. »
– Le Parisien, le 2 février : Soldes d’hiver : les commerçants n’ont pas fait le plein
- « Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce (qui réunit les enseignes de l’habillement et de la chaussure), abonde : « Il y a aussi eu tous les cas positifs, les cas contacts, tous ces parents bloqués à la maison en raison des problèmes de l’école. » Bref, autant de clients en moins dans les magasins. Surtout à Paris, où les enseignes de l’habillement et de la chaussure ont vu leur chiffre d’affaires baisser de 31%, selon les données de l’Alliance du Commerce. « La région Est s’en sort mieux avec seulement une baisse de 17% », pointe Yohann Petiot. Les tensions sur le pouvoir d’achat, alors que les prix de l’énergie, des carburants flambent, ont pu aussi influencer les achats des Français. »
Conjoncture/pouvoir d’achat
– Point de Vente, le 20 février : Pouvoir d’achat : rien ne va plus !
- « Un mois de janvier raté engendre des problèmes de trésorerie pour les mois à venir. Non seulement, les commerçants se retrouvent avec des stocks d’invendus sur les bras mais en plus, ils doivent faire face à l’explosion des coûts du coton (entre 5 % et 30 % s’il est bio) ainsi que du polyester (+10 %). “Depuis deux ans, les enseignes ont dû apprendre à gérer leurs stocks différemment, à moins acheter et à mieux jongler avec les taux de promotion et les démarques (…). De fait, si les commerçants restent attentifs à préserver le pouvoir d’achat de leurs clients, leurs prix doivent tout de même refléter les investissements réalisés dans la transformation digitale et écologique, vers une production textile plus responsable. Il s’agit d’un subtil équilibre à trouver et qui dépend du positionnement de chaque enseigne, indique Yohann Petiot. Surtout, le commerce physique doit également absorber la revalorisation de l’indice des loyers commerciaux (ILC), à + 3,46 % au 3e trimestre 2021. »
– France 3, le 3 février : Qui sont les gagnants et les perdants du commerce en France après deux ans de crise sanitaire ?
- « Confinements, télétravail massif, report d’événements festifs… Le prêt-à-porter n’a plus la cote. Les ventes en France ont baissé de 16% par rapport à 2019, selon un recensement de l’Alliance du commerce (grands magasins, habillement, chaussure), qui co-réalise un panel d’une quarantaine d’enseignes représentatives du marché de l’habillement avec Retail Int.«
Mode durable/traçabilité
– Fashion Network, le 3 février : Traçabilité: marques et enseignes mises au défi de la concertation
- « C’est l’enjeu de l’année, indique à FashionNetwork.com Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance [du Commerce] (grands magasins et enseignes d’habillement-chaussures), évoquant les attentes entourant le fameux article 13 de la loi AGEC. La dernière version du décret d’application, actuellement à l’étude, semble indiquer qu’il faudra informer sur l’ensemble des étapes de production. Nous avons donc donné l’alerte, car cela ne sera pas simple pour une industrie comme la nôtre, complexe et mondialement morcelée ».
– Presse Agence, le 3 février : Un cahier sur la traçabilité des chaînes d’approvisionnement pour l’industrie de la mode