Plan Commerce 2030
Les Echos, le 27 janvier : Moins de charges et plus d’aides : les commerçants ont leur programme présidentiel
- « Les commerçants ont besoin d’une croissance de leur activité et d’une réduction de leurs coûts, résume Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce qui réunit 450 enseignes d’habillement. »
- « Il ne s’agit pas seulement d’avoir de beaux sites Internet marchands, détaille Yohann Petiot. Il est aussi question d’optimisation de la gestion des stocks et de la logistique. »
Conjoncture
– Les Echos, le 27 janvier : La vérité sur la fermeture des magasins à Paris
- « Depuis 2014, la vacance ne fait qu’augmenter dans la capitale, alors qu’elle n’avait pas bougé entre 2007 et 2014, alerte Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du commerce. Elle atteint désormais10,5%, selon la dernière enquête de l’Atelier parisien d’urbanisme (Apur), fin 2020. Or le seuil d’alerte est à 10%. »
– Franceinfo, le 19 janvier :
- « On ne comprend pas [les annonces], d’autant plus que les commerçants, en ce début d’année, sont également frappés par l’épidémie sanitaire. On enregistre, depuis le début des soldes, une baisse de chiffre d’affaires en magasin de l’ordre de 30%, et une baisse de fréquentation encore plus importante, avec -35% de fréquentation dans nos magasins. Et ça, c’est directement lié à l’impact de l’épidémie, au télétravail obligatoire, au nombre important de personnes positives au Covid ou à l’isolement ! Aujourd’hui, on constate qu’il y a moins de personnes dans les rues, dans les restaurants, dans les cinémas, mais aussi dans les commerces, et l’impact est extrêmement lourd sur nos chiffres d’affaires ! »
- « On demande quoi ? On demande, bien sûr, que les mesures qui ont été annoncées par le Gouvernement puissent être étendues à l’ensemble des acteurs du commerce, quels qu’ils soient. On demande aussi l’activité partielle sans reste à charge (…). »
- « Le problème, aujourd’hui, n’est pas les soldes. Le vrai problème, c’est l’épidémie, qui a un impact très fort sur la fréquentation de nos magasins, et par conséquent sur nos chiffres d’affaires ! »
Extraits vidéo :
Panel Retail Int. pour l’Alliance du Commerce
– LSA, le 29 janvier : La mode en voit de toutes les couleurs
- « Le web a plus que doublé avec un bond de chiffre d’affaires de… 113 % en un an versus 2019. « Comme la part des ventes en ligne des enseignes classiques n’est pas très élevée, cela ne compense pas le reste », précise Emmanuel de Courcel. »
– Les Echos, le 22 janvier : Affaiblis par la crise sanitaire, les magasins font de la résistance
- « À chaque fois, à la fin des confinements et à la réouverture des commerces dits « non essentiels » et des grands centres commerciaux, les clients sont revenus dans les magasins en « dur ». Les chiffres du Panel Retail Int. pour l’Alliance du Commerce, qui regroupe 450 enseignes, indiquent certes une baisse de 16 % des ventes d’habillement – le marché le plus touché par les mesures sanitaires – en 2021 par rapport à 2019. Mais, hors période de fermeture, l’activité en magasin a fait preuve de résilience puisqu’elle est en légère hausse de 1 % par rapport à 2019, et de 4 % par rapport à 2020, note le panéliste. »
– Républik Retail, le 20 janvier : Avec -11 % sur les ventes en 2021, le secteur de l’habillement reste toujours dans la tourmente
- « Ce sont les 15 premiers jours et notamment le premier week-end qui donnent une bonne vision des performances, et actuellement les chiffres ne sont pas bons, souligne Yohann Petiot. Nous avons comparé avec 2019, cette mauvaise performance ne provient pas d’un manque d’attractivité des offres. La problématique est plutôt sanitaire ou en lien avec le pouvoir d’achat. »
– Stratégies, le 19 janvier : Démarrage raté pour les soldes d’hiver, en recul de -29% par rapport à 2019
– Le Figaro, 20 minutes, Le Parisien, Var-Matin, La Nouvelle République, etc. (avec AFP), le 18 janvier : Mauvais démarrage des soldes d’hiver, selon une organisation professionnelle
- « Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce, a déploré des soldes qui commencent extrêmement mal, ce qui a un impact sur les entreprises dans la mesure où il s’agit d’un mois essentiel pour reconstituer la trésorerie. »
– Fashion Network, le 18 janvier : En 2021, les ventes des enseignes de mode ont chuté de 16% par rapport à 2019
Soldes
– Journal du Textile, le 31 janvier : Un bilan entre demi-teinte et espoir pour l’habillement en 2021
– BFMTV, le 25 janvier : À Paris, le démarrage des soldes d’hiver 2022 est particulièrement laborieux
- « Les commerçants sont très inquiets. Selon l’Alliance du Commerce, le mois de janvier, celui des soldes d’hiver, est le deuxième mois d’activité pour l’habillement. Surtout, il est essentiel pour écouler les stocks et reconstituer la trésorerie des entreprises, qui servira notamment à financer les collections futures. »
– Franceinfo, Le journal de 9h30, le 12 janvier :
- « Les soldes sont un moment essentiel pour le commerçant qui peut vendre à perte, écouler ses stocks de fin de saison, et c’est un moment attendu par les clients, quel que soit leur âge, pour se faire plaisir à des prix attractifs, en magasin. Et puis c’est surtout le seul moment collectif d’animation commerciale, qui concerne tous les commerçants, qu’ils soient petits, moyens ou grands. Lors des Assises du Commerce, tous les commerçants qui ont participé ont rappelé leur attachement à ce qu’il y ait une période de soldes commune à tous les acteurs du secteur. »
- « Ce qui est important dans les soldes, ce sont les 15 premiers jours qui donnent l’élan« .
– Le Dauphiné, le 12 janvier :
- « Les soldes, c’est le seul moment qui réunit tout le commerce, petit ou grand, souligne Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce sur BFM Business. Les soldes restent un moment attendu par les commerçants et important en termes de chiffre d’affaires« .
– Libération, le 12 janvier : Les soldes, doudou anti-déprime
- « (…) En Lorraine, où les soldes ont débuté avec deux semaines d’avance, le bilan est particulièrement impacté par la situation sanitaire avec une baisse de fréquentation de 40 % par rapport aux soldes de janvier 2020. »
– Le Bien Public, le 12 janvier : Soldes d’hiver : comment les commerçants jouent de malchance depuis 3 ans
- « Le directeur général de l’Alliance du Commerce, Yohann Petiot évoque (…) un début d’année 2022 « beaucoup plus compliqué » après « un bon mois de décembre », sur BFM Business. « On constate une baisse de fréquentation des magasins de 40% par rapport aux soldes d’hiver de janvier 2020, avant la crise », ajoute-t-il. »
– BFM Business, le 11 janvier : Le bilan des fêtes de fin d’année
- « C’est un quasi confinement parce que, aujourd’hui, on a le télétravail obligatoire et, donc, quand vous travaillez de chez vous toute la journée, que le soir vous avez soit vos enfants, soit votre famille, vous n’avez pas le temps de sortir (…), vous n’allez pas dans les lieux de destination de commerce, et ça, on le ressent très fortement sur la fréquentation de nos magasins. »
- « On perd, là, 25% en raison du télétravail et de la crise sanitaire. »
- « Il faut peut-être envisager de nouvelles mesures de soutien économique pour ceux qui seraient vraiment en difficulté à l’issue du mois de janvier. »
- « Les soldes restent un moment important attendu par les clients qui savent qu’ils peuvent se faire plaisir en magasin, qu’ils peuvent découvrir de nouveaux produits à prix attractif. Et ça reste aussi important pour les commerçants : c’est la seule période de l’année où ils sont autorisés à vendre à perte, c’est la seule opération commerciale qui réunit l’ensemble du commerce. »
Pass vaccinal
– LSA, le 6 janvier : Passe vaccinal : cette menace qui subsiste pour les centres commerciaux
« Les centres commerciaux restent (…) exclus de la liste des lieux exigeant passe vaccinal. « Cependant (…), commente Gontran Thüring, Délégué Général du Conseil National des Centres Commerciaux (CNCC) (…), l’article donnant latitude aux préfets, en cas de dégradation de la situation sanitaire en France, de conditionner l’accès aux grands magasins et centres commerciaux à la présentation d’un passe – désormais vaccinal – est maintenu » (…) « Cette mesure serait d’autant plus injuste, complète Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce, qu’il a été maintes fois prouvé que les lieux de commerce ne sont aucunement des foyers de contamination. Le port du masque y a été prescrit, sans aucune interruption, depuis le début de la crise. De même que les gestes barrière et les règles de distanciation sociale. Et l’autre grande inquiétude, en cas d’application sous férule préfectorale, serait les énormes surcoûts générés par les procédures de contrôle pour les enseignes ! Sans parler des difficultés de gestion du personnel auxquels les responsables d’établissements devraient demander leur passe vaccinal ». »
Indice des loyers commerciaux (ILC)
– Les Echos, le 4 janvier : Les commerçants veulent revoir l’indexation de leurs loyers
- « Le sujet est important car lorsqu’elles signent leur bail, les boutiques s’entendent avec le propriétaire des murs sur un trimestre de référence et chaque année le montant du loyer est rehaussé du niveau de progression de cet indice qui fait référence. Seules les marques dont les propriétaires de centres commerciaux ne peuvent se passer, comme Zara ou Primark, peuvent échapper à l’indexation sur l’ILC. « C’est un rapport de force », résume Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce. »
- « Le paradoxe est que c’est tout le chiffre d’affaires du commerce de détail qui est pris en compte, celui des magasins mais aussi celui des e-commerçants. Ainsi la croissance d’Amazon conduit à l’augmentation des loyers des points de vente physique, qui sont leur deuxième poste de coût, s’indigne Yohann Petiot. »
- « Les commerçants souhaiteraient à tout le moins la sortie des ventes réalisées sur Internet du calcul de l’ILC. Selon l’Insee, l’e-commerce représentait 0,4 point de la progression du deuxième trimestre, note le directeur général de l’Alliance du Commerce. »
Invendus
– Midi Libre, le 4 janvier : Donnés, recyclés ou réemployés : les invendus n’iront désormais plus à la poubelle
- « Depuis deux ans, les enseignes ont appris à mieux anticiper la demande pour produire exactement le nombre de produits qu’on va vendre, assure Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du commerce qui représente les grands magasins et les enseignes de mode et de chaussures. »
– La Croix, le 3 janvier 2022 : Ces produits invendus qui ne pourront plus être détruits
- « Que deviendront donc les invendus – jusqu’ici détruits – qui devront désormais être valorisés ? Délégué général de l’Alliance du commerce, qui fédère les magasins de l’habillement, Yohann Petiot écarte toute difficulté particulière de mise en œuvre : Les stocks sont déjà en grande partie orientés dans des réseaux de déstockage en France et à l’international, ou vers le don, indique-t-il. Une partie est également recyclée. »