Le commerce de mode fait du BIEN ! Ce sont les Français qui nous le disent ! Selon notre enquête réalisée par l’institut Viavoice, 90% des Français fréquentent les commerces de mode, et 35 % d’entre eux s’y rendent au moins une fois par mois. Plus qu’un simple lieu d’achat, le commerce de mode est perçu par les consommateurs comme un espace qui « fait du bien ».
C’est aussi notre conviction ! Ainsi, nous voulons plus que jamais réaffirmer que notre secteur est non seulement essentiel mais qu’il joue aussi un rôle positif pour nos clients, nos territoires et notre économie !
Conscient de ses limites et des défis à relever, le commerce de mode agit et avance dans le bon sens, en s’engageant dans une trajectoire de progrès, pas-à-pas. Il trace sa route en toute humilité et responsabilité.
Faire du bien, c’est
- Créer du lien social :
90% des Français fréquentent les commerces de mode et 35% au moins une fois par mois.
58% des Français affirment que les commerces de mode favorisent le lien social et la convivialité.
« Le commerce amène de la vie là où il est présent. Un centre-ville sans commerce, c’est un centre-ville mort. » Nicolas Houzé, Galeries Lafayette
« Être commerçant, c’est créer du lien. » Alexandre Rubin, Petit Bateau
« Le magasin, c’est un lieu de vie et d’échanges. » Virginie Reiss, Inditex France
- Apporter du bonheur :
60% des individus considèrent la mode comme un moyen de réparer leur estime de soi.
57% des Français affirment que les commerces de mode offrent un moment de plaisir ou de détente.
« Notre métier, c’est d’accompagner nos clients dans l’estime de soi.» Joannes Soenen, Jules
« La mode permet au plus grand nombre de se sentir bien dans sa vie. » Xavier Biotteau, Eram
« Le commerçant de mode est là pour apporter du rêve et du bien-être à la cliente. » Julien Pollet, Promod
- Créer de l’emploi :
78% des Français estiment que les commerces de mode créent de l’emploi local.
16 000, c’est le nombre de points de vente de grands magasins, magasins populaires, enseignes de l’habillement et de la chaussure en France.
152 000, c’est le nombre de salariés. La mode reste le 1er employeur du commerce de détail spécialisé.
36% des points de vente sous enseigne sont ouverts par des entrepreneurs locaux, affiliés/franchisés.
« Le premier développement durable, c’est de maintenir l’emploi et de le développer. » Benjamin Amice, Beaumanoir
« Ce secteur ne se préoccupe pas des diplômes. On emploie des gens et on leur permet d’avoir des carrières ascensionnelles. » Jean-Christophe Garbino, Grain de Malice
- Œuvrer pour les territoires :
68% des Français estiment que les commerces de mode sont essentiels à l’aménagement des villes et des territoires.
22% de la totalité des surfaces commerciales (hors alimentaires) sont dédiés aux commerces de l’équipement de la personne.
« Nous contribuons au dynamisme de la ville : nous générons des revenus tout en les réinjectant localement, que ce soit sur un plan économique ou à travers des actions humaines. » Christine Loizy, Primark
« Le textile est générateur de trafic. » Laurent Milchior, Etam
« 5 enseignes dans une petite ville, c’est 100 emplois. » Benjamin Amice, Beaumanoir
- Prendre ses responsabilités :
Les principales démarches RSE : 82% Respect des normes de travail équitable ; 73% Utilisation de matières plus durables ; 73% Réduction des consommations d’énergie en magasin ; 64% Environnement de travail inclusif et égalitaire.
66% des Français estiment que les commerces de mode se transforment et s’adaptent aux évolutions de la société.
« Notre travail est d’accompagner les clients vers une consommation plus durable. » Bernard Cherqui, Mondial Tissus
« Nous sommes fiers d’être un incubateur de marques qui symbolisent la mode de demain : circulaire, vertueuse et innovante. » Laurence Nicolas, Printemps
« Nous devons aller chercher une croissance durable et rentable. » Lilan Rosas, Monoprix
- Imaginer le monde de demain :
« Dès lors qu’il y a une innovation, c’est le commerce qui s’en empare le plus rapidement. » Jean-Christophe Garbino, Grain de Malice
« La mode est face à un enjeu crucial de mutation. Tous les services que l’on développe pour comprendre le client, le conseiller, sont déterminants.» Isabelle Guichot, SMCP
« Ce qui me met en joie, c’est de diriger une transformation totale d’entreprise, d’être confrontée à des modes de consommation qui ont changé. Le métier n’est pas mort, il y a énormément de transformations à venir. » Elisabeth Cunin, Kiabi