Octobre 2021 : l’Alliance du Commerce dans les médias

Panel Retail Int. pour l’Alliance du Commerce

– L’Officiel des Réseaux commerciaux, le 6 octobre : L’Alliance du Commerce demande un gel temporaire de l’évolution des loyers commerciaux

• « Les derniers chiffres publiés par l’Alliance du Commerce font apparaître plusieurs replis conséquents sur l’activité des magasins : – 5,5 % en magasin (à périmètre constant) par rapport à septembre 2019. »

– LSA, le 5 octobre : L’Alliance du Commerce demande au gouvernement un gel temporaire des loyers

• « Alertés par la baisse de chiffre d’affaires en magasins de 5,5% en septembre 2021, et de 21,1% en cumul depuis le début de l’année, les représentants de 27 000 magasins de l’équipement de la personne demandent au gouvernement un gel temporaire de l’évolution des loyers commerciaux, face au risque d’explosion des coûts de production et d’exploitation. »

– Fashion Network, le 5 octobre : Une rentrée décevante pour les enseignes de mode

• « En septembre, leurs ventes réalisées en magasins ont reculé de 5,5% par rapport à la référence prépandémique de 2019, indique le panel Retail Int. pour l’Alliance du Commerce, qui s’inquiète d’autre part des charges grandissantes (production, acheminement…) auxquelles font face ces acteurs. »

– Le Journal des Entreprises, le 5 octobre : Face à l’envolée des coûts, les commerces exigent le gel temporaire des loyers

• « La question des loyers commerciaux revient sur le devant de la scène. (…) [L]’Alliance du Commerce demande (…) à l’État de les geler temporairement. En cause, cette fois : « le risque d’explosion des coûts de production et d’exploitation » qui pèse sur les professionnels. »

PGE

– Les Echos, le 6 octobre : Dans le commerce, certains souhaitent assouplir le remboursement des PGE

• « Dans le secteur de la mode, qui compte le plus grand nombre de boutiques, les situations varient. Certaines enseignes, souvent les plus importantes, ont déjà remboursé ou s’apprêtent à le faire. Il s’agissait de PGE sécurité qui n’ont pas tous été tirés, commente Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce qui représente près de 800 marques et plus de 26.000 points de vente. Dans le secteur de la chaussure, une majorité d’entreprises, fabricants comme succursalistes, a demandé un PGE. Mais toutes ne les ont pas consommés. Il s’agissait surtout pour elles d’une précaution, confirme Frank Boehly, président de la fédération des enseignes de la chaussure (FEC). »
• « D’autres chaînes se demandent si elles vont rembourser ou si elles vont demander une deuxième année de différé. La situation est sensible pour les entreprises de taille moyenne qui voit s’alourdir le poids de leur dette, précise cependant Yohann Petiot. »

Inflation/pénuries

– Le Figaro, le 26 octobre : Les commerçants s’inquiètent de l’inflation

• « Le prix du coton bio est en hausse de 20 % à 30 %, celui du polyester de 10 %, déplore Yohann Petiot, le délégué général de l’Alliance du Commerce. Les collections actuellement en magasin n’en ont rien subi, car elles ont été fabriquées très en amont. Il en sera tout autrement des collections de 2022. »
• « [L’Indice des Loyers Commerciaux] ne fait que contribuer à faire gonfler le patrimoine des bailleurs, déplore Yohann Petiot, le délégué général de l’Alliance du Commerce. »

– B SMART, le 15 octobre : Les commerçants face au risque de pénuries

• « Les retards de livraison ont un impact sur l’activité : si vous n’avez pas le bon produit, au bon moment, c’est une vente en moins. »

– Les Echos, le 6 octobre : Les pénuries touchent les magasins de vêtements et chaussures

• « Les pénuries frappent, un à un, de plus en plus de secteurs. Après les magasins de bricolage qui manquent de perceuses et d’étagères, les spécialistes du jouet qui attendent les futurs cadeaux de Noël, Ikea qui affiche en France un taux de 20% d’articles manquants, c’est au tour des boutiques de vêtements et de chaussures de s’alarmer. Jeudi dernier, les membres de l’Alliance du Commerce, qui représente 760 enseignes et plus de 26.000 points de vente, se sont réunis pour aborder ce sujet sensible. Alors que la saison d’hiver débute, les grosses pièces, manteaux et doudounes pourraient manquer. »

– Mieux Vivre votre argent, le 6 octobre : Consommation : le marché de la chaussure au pied du mur

• « Il devient de plus en plus difficile de trouver chaussure à son pied. Littéralement. Les boutiques de vêtements et de chaussures s’ajoutent à la liste des nombreux secteurs frappés par les pénuries (jouet, mobilier, bricolage). Jeudi 30 septembre, une réunion entre les membres de l’Alliance du Commerce a eu lieu. »

Magasins de proximité

– Le Parisien, le 31 octobre : Les commerces de centre-ville en danger

• « Des vitrines de magasin bardées d’autocollants « A vendre » ou « A céder ». Une lame de fond, entamée il y a une trentaine d’années avec la migration des habitants vers la périphérie, qui déshumanise nombre de centres-villes de province. Et qui gagne maintenant les métropoles. Depuis 2019, les grandes villes commencent à être touchées par le phénomène, affirme Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce, qui regroupe des acteurs du secteur. Même Paris, la capitale, témoigne de cette triste évolution avec certaines de ses devantures closes, notamment sur le boulevard Saint-Michel (Ve). »

Loyers/ILC

– Le Figaro, le 26 octobre : Loyers : l’aide de l’État ne mettra pas fin aux conflits avec les bailleurs

• « L’aide (…) ne couvrira pas 100% du loyer correspondant à la période de fermeture pour toutes les entreprises, avertit Yohann Petiot, le délégué général de l’Alliance du Commerce, qui regroupe de grandes enseignes de l’habillement. »

– LSA, le 26 octobre : Onze fédérations de commerce demandent l’annulation de l’indexation des loyers en 2022

– Les Echos, le 21 octobre : Loyers : commerçants et propriétaires des murs enterrent la hache de guerre

• « Yohann Petiot, qui représente 800 enseignes et 26.000 points de vente à travers l’Alliance du Commerce qu’il dirige, pointe la nécessité d’un progrès. Les loyers sont indexés sur l’indice des loyers commerciaux ou ILC. Celui-ci a augmenté de 2% au deuxième trimestre car son calcul dépend du coût de la construction, lequel subit l’impact des pénuries. Cela attise la crainte d’une hausse annuelle des loyers de 3% alors que les chiffres d’affaires baissent dans certains secteurs et que la fréquentation de certains sites fléchit, explique-t-il. »

– Fashion United (AFP), le 20 octobre : Inquiètes pour leur activité, les enseignes de mode veulent alléger leurs loyers

• « Malgré une embellie en mai-juin, la reprise pour le secteur de la mode n’a pas été à la hauteur : les soldes ont été décevants pendant l’été, et le mois de septembre n’a pas redressé la barre, avec 5,5 pour cent de chiffre d’affaires en moins qu’en septembre 2019, selon l’Alliance du Commerce. Or dans le même temps, l’indice des loyers commerciaux (ILC), sur lequel les baux des magasins sont automatiquement indexés, est reparti à la hausse : au deuxième trimestre, l’Insee enregistrait une croissance de 2,6 pour cent de l’indice sur un an. »

– BFM Immo, le 20 octobre : Loyers: le torchon brûle entre enseignes de mode et bailleurs des centres commerciaux

• « En attendant, certains ont retenu le paiement de leur loyer parce qu’ils se seraient retrouvés sinon en situation de trésorerie compliquée, indique à l’AFP Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce. »